Suite au démantèlement de ses totems et enseignes lumineuses par l’Office Guinéen de Publicité au motif d’avoir refusé de payer une facture illégale, fondée sur aucune base contractuelle réglementaire ou juridique, Orange Guinée apporte les précisions suivantes:
- Orange Guinée ne doit rien à l’OGP. Orange s’acquitte régulièrement de ses redevances publicitaires depuis 2007, date de son implémentation en Guinée.
- Le contentieux entre les opérateurs mobiles et l’Office Guinéen de Publicité concerne ce que l’OGP appelle le « marketing mobile ». Le terme « marketing mobile » n’existe dans aucun cas texte de loi guinéen. Une nouvelle redevance ne peut être instituée que par l’Assemblée Nationale, un décret ou un arrêté ; le Directeur Général de l’OGP ne dispose pas de ces prérogatives.
- Contrairement à ce que le Directeur Général de l’OGP affirme, dans aucun pays au monde les SMS diffusés à ses clients par un opérateur mobile relatifs au désenclavement de sous-préfectures, à ses produits et services ne sont considérés comme une publicité mais plutôt une information. A titre d’exemple : un SMS informant du désenclavement de Touba, de Doko, Ditinn, Koundou par Orange Guinée ne peut être considéré comme de la publicité mais plutôt comme une information adressée exclusivement à ses clients.
- Orange Guinée est une entreprise citoyenne et responsable, qui paye ses impôts au fisc ; ses redevances à l’ARPT; ses taxes douanières et toutes autres taxes prévues par la loi.
Enfin, orange condamne vigoureusement le démantèlement de ses totems et enseignes lumineuses sans aucune décision de justice.
L’OGP a cherché délibérément à ternir l’image d’Orange Guinée en la présentant comme une entreprise hors la loi.
La Guinée étant un pays de droit, Orange Guinée, respectueuse des lois guinéennes, a décidé de régler ce contentieux par la voie judiciaire.