Dans le cadre de l’exécution de son programme budgétaire exercice 2014, la Banque Centrale de la République de Guinée (BCRG) exprime des besoins parmi lesquels figure l’acquisition de fournitures de bureau.
Le financement est assuré sur les ressources propres de la B.C.R.G.
A cet effet, la Banque centrale de la République de Guinée lance le présent appel d’offres et invite toutes les entreprises établies régulièrement en République de Guinée à y répondre en présentant leurs soumissions.
L’appel d’offres a pour objet la livraison à la banque centrale des fournitures de bureau tels que décrit dans le présent cahier de charges.
L’ensemble des prestations fera l’objet de deux (2) lots distincts (voir les spécifications techniques).
La consultation est ouverte à toutes les sociétés spécialisées, petites et moyens entreprises (PME), immatriculées au Registre du Commerce et du Crédit Mobilier (RCCM), ayant au moins trois (3) ans d’expérience dans la livraison des fournitures de bureau et localement installées en République de Guinée conformément aux Actes uniformes de l’OHADA.
Le dossier d’appel d’offres, rédigé en langue française, pourra être obtenu auprès de la Direction de la Logistique de la B.C.R.G. contre paiement par chèque barré émis en faveur de la BCRG d’une somme de GNF 1.000.000 (un million de francs guinéens) non remboursable.
Les offres devront être présentées en quatre(4) exemplaires ; dont un original et trois (3) copies, le tout rédigé en français dans une enveloppe anonyme et déposé au Secrétariat de la Direction de la Logistique (BCRG, 2ème étage, porte numero236) au plus tard le 07 FEVRIER 2015 avant 16heurs, date limite de dépôt des offres.
Les soumissionnaires demeurent engagés par leurs offres jusqu’à quatre-vingt-dix (90) jours, à compter de la date limite de remise des offres.
Les offres seront ouvertes en séance publique le 09 FEVRIER 2015 par une Commission de la Banque Centrale mandatée à cet effet.
Les candidats devront strictement se conformer aux règlements d’appel d’offres joints au dossier sous peine de voir leur offre purement et simplement rejetée.
LA BANQUE CENTRALE