D’un Simple Planton ou Directeur, on peut devenir Milliardaire du Jour au Lendemain
Et le plus beau dans l’histoire, on ne rend compte à personne, c’est même le signe de
Réussite et de bénédiction quand on devient un Gros Voleurs de Peuple Via l’Etat…
La Guinée l’enfer de tout est possible, on continue à payer les bavures, les erreurs, les folies et les complots des hommes qui le dirigent. Des dirigeants sans feuilles de route, sans mesures de contrôles, sans programme aucun, incompétents de tout bord, un manque d’ambitions criardes et d’inspiration même pour imiter ce qui se passe dans la sous-région et qui sont tout le temps en missions partout dans le monde, maintenant que les frontières sont accessibles aux Guinéens. Des évadés fiscaux et des corrompus. Et pour couronner tout « vas-y que je fasse fuir ma famille de la guinée ou que je détourne les deniers publics pour acheter des maisons à l’étranger, cela m’épargnera de rendre compte au peuple et à Dieu qui m’a lui-même confié la gestion du bien public » pendant que le peuple meurt de faim, d’un simple palu ou des femmes accouchent par terre pour en mourir comme des animaux.
On est pauvre et la meilleure chance qui puisse nous arriver c’est de devenir misérable à défaut de se prendre une balle en plein cœur et sans suite. Voici le choix qui s’offre au peuple.
Ainsi, après 57 ans d’indépendance, nous manquons de tout en Guinée
La base ou le strict minimum d’ailleurs devient un rêve pour le Guinéen de base.
« Pas d’écoles dignes de renom : Des diplômes douteux ou pas reconnus aux yeux du monde quelle honte. Pas de routes, Pas de ponts, Des hôpitaux archaïques des années 60, à défaut de mourir sous des tentes de bois élevés en plein air comme un coque, Pas de structures administratives Honorables, le tourisme en berne malgré les atouts d’un Pays inconnu de tous « Heureusement que Ebola est passé par là, Des lors on repère plus facilement la Guinée plutôt comme un virus, et pas pour la beauté de ses montagnes, littoraux, plages, reliefs, climats et culture tout court»
Nos côtes fluviales sont pillées ou gérées par des sociétés fantômes créer par des dignitaires en place ou de leurs protégés pour s’arracher tous les projets de développement à cout de retro commission de temps en temps quelques milliers de dollars suffisent pour autoriser d’autres bateaux à se servir sur les côtes Guinéennes discrètement où de déverser leurs déchets impunément, on sait tout hélas car, tous les Guinéens ne sont pas dupes attention.
La Guinée, un pays, une capitale, des communes et des villes à tendance de ghetto, aucun système de santé ni social, sans canalisation ni fossés pour évacuer les eaux usées, des abris de tôles qui font office de maison, surtout dans notre vitrine qui est censée être notre capital, c’est impardonnable. En 2015, 21 eme siècle, il n’y a aucun centre d’incinération de déchets ménagers ou de recyclage j’en passe.
Alors à défaut d’insulter ou de se moquer du peuple de Guinée, quand on parle de développement c’est de prioriser l’essentiel, du plus important au moyen important.
Peu de ressources financières réelles, donc on priorise et ne se focalisant sur l’essentiel, c’est le Fondement même de l’Economie qui rentre en droite ligne avec la politique qui lui est fondée sur le choix opportun. Mais, il faut d’abord maîtrise son sujet pour s’aventurer…
Dès lors on peut aisément demander à ceux qui sont et qui ont étés aux affaires
De quel développement on parle au fait ? Et qu’est ce qui a été où qu’est-ce est mis en place pour cela car, c’est très facile de saisir des ondes radio télévisées pour raconter un tissu de conneries à dormir débout. Le Cadre Guinéen jusqu’ici n’est pas un prix Nobel et n’a rien d’extraordinaire en matière de jujotte, sinon cela se saurait à travers l’honneur et le patriotisme qu’il mettrait à l’œuvre pour développer la situation socio-économique de son pays et je rajoute qu’avec 57 ans d’indépendance, la Guinée n’en serait pas là.
Le point focal, reste le non accès à l’eau potable, le manque criard d’électricité qui s’est d’avantage dégradé d’ailleurs. Oui le projet KALETA donne un certain espoir qui après que des milliards et des milliards de dollars aient été englouti sans résultat et sans compte rendu de gestion financières depuis toujours en Guinée ? Oui un décret DÉCISION N°008/SC/P/ du 1er juin 2015 la HAC, parle de la nouvelle vision du journalisme ou devrais dire rappel d’une télévision nationale RTG qui devrait être au service de son peuple sans distinction de religion, d’appartenance politique ou d’origine ethnique c’est un ouf de lueur et on attend le suivi de cela. Drôlement ce décret répond en parti à mon précédent article présent sur les sites comme vision guinée que je salut admirablement du courage et de l’engagement d’ouvrir le débat contradictoire et toute partialité, dévouement et engagement, Bravo.
Nous parlerons sans doute aussi de l’insécurité galopante, l’injustice et la misère au quotidien que subit le peuple révolutionnaire de Guinée.
Des médecins encouragés à faire de faux diagnostics impunément de véritables irresponsables pour ne pas de dire des bourreaux. C’est monnaie courante de voir des médicaments la plupart à molécules piratées sur le marché, des produits à sources douteuses mais officiellement vendus par terre et dans les pharmacies à les prix exorbitants.
Est-ce normal pour un peuple à 70% analphabète et pauvre de sur quoi ?
Seul une trahison ou une complicité avec l’administration qui peut expliquer autant de mépris et foutaise vis-à-vis du peuple de Guinée, quand certain s’enrichissent sur la misère humaine et que cela semble normal. Plusieurs poids et Plusieurs mesures.
Or, pour certains juste un maux de tête suffit pour aller à Paris un voyage en première au Frais du peuple je précise car, tous ce qui est géré par l’Etat appartient au peuple. Pendant
Ce temps, les femmes continuent à accoucher à même le sol et en mourir pour simple hémorragie. Combien de femmes ou d’enfants meurent à l’accouchement en Guinée ?
Voilà pourquoi je dis que la peine de mort est nécessaire afin de rétablir l’équilibre entre justiciables. Et quand un pays est dirigé par des patriarches des années révolutionnaires et qui refusent la RETRAITE en se foutant de la loi, ce qu’il y a souvent une connivence avec le sommet de l’Etat. Qui sait exactement le nombre de jeunes diplômés sans emploi qui sont abandonnés à leurs sors en Guinée ?
Ce sont des milliers et des milliers de jeunes qui désapprennent au quotidien, par ce que le vieux monsieur ou la vieille dame a peur de se retrouver à toucher sa dérisoire pécune de retraite et donc donnerait tout pour travailler au-delà de 60 ans dans l’administration public et privée.
En outre, le déchirement du tissu social balafré par un ethnocentrisme induit part des politiciens qui ont un grand besoin de recyclage à défaut d’avoir à se justifier des résultats de leurs gabegies financières quotidiennes ou leurs programmes s’ils en ont un. C’est simplement magique car, en Guinée du jour au lendemain on peut devenir milliardaire et sans avoir à rendre compte. Quel exemple donner à la jeune génération qui grandit dans l’illicite à qui l’on apprend comment créer des sociétés écrans pour détourner l’argent du peuple. Vivre au-dessus de ses moyens devient monnaie courante à défaut de fabriquer des chômeurs, on fabrique de fallacieux contrats sans appels d’offres entre copains et protégés.
De l’autre, l’analphabétisme, le mensonge, la démagogie, le trafic d’influence, l’incivilité, le désordre, la peur, le racisme, la désinformation, la pollution avec une jeunesse en berne et sacrifiée qui s’auto flagelle à force de tourner en rond. Souvent, sans compétence, sans formation, sans travail, sans culture, une méconnaissance de son histoire au profit des réseaux sociaux, de rare ouverture d’esprit, pas d’évolution mais, un perpétuel recommencement, où les mêmes causes entraînent les mêmes effets.
La Guinée, est-ce une malédiction ou une destinée vouée à l’échec ?
L’un dans l’autre nous n’en sortons pas grandi, car, 57 ans plus tard, on ne peut que constater l’humiliation, la dégradation, et le retard qu’à accuser notre pays, avec les complicités des prédateurs internes ses fils et extérieurs à ce pays, les prétendus bienfaiteurs et consultants.
Que le peuple réfute la division ou manipulation politicienne, que la presse radio télévisée joue son rôle, que la jeunesse ne devrait pas se laisser dicter son destin et à subir l’affront, une humiliation de sa propre chaire. Une seule alternative, prendre ses responsabilités, on n’a pas le choix, c’est cela, ou mourir de faim, du paludisme ou d’une balle perdue et qui sera sans suite c’est sûr. Ainsi, mettre en échec toutes formes de corporatisme, car, La Guinée n’appartient à aucun gang, aucune fratrie, à aucun groupe, ni même à un réseau mais à son peuple. Que les lois soient appliquées strictement sans aucune exception, ni d’exceptés.
Nous sommes affectés en Guinée c’est plus grave qu’EBOLA, les résultats et le diagnostic
Le prouve à suffisance. LA PEUR DE DIEU EST LE DERNIER DES SOUCIS, cela est valable pour toutes les couches et pour que la liberté dans la pauvreté ne soit pas un vain mot il est l’heure d’exterminer la vermine.
D’une manière continue et certain, les prochains articles traiterons plus précisément et sans équivoque ni tabou à la fois : les maux et les solutions plausibles pour le cas Guinéen à travers un débat franc constructif et fraternel propice au développement et peut être un jour nous parlerons d’un pays la GUINEE comme un Etat DEMOCRATIQUE ?
Pour que nous soyons véritablement présents dans le concert des nations en tant qu’acteur
Et non vulgaire participant…
Voici en amorce, le début de ma vérité et le combat d’une vie, la mienne
Mais ensemble pour le développement de notre pays avec toutes les lumières que cela nécessite!!!
Thierno Souleymane Mara- Nicolas
LE PATRIOTISME N’EST PAS UN VAIN MOT