Le « Petit Directoire » de Cellou Dalein DIALLO est une « Cours Martiale », où des Juges de bronze prennent des décisions de cire, qu’ils brandissent comme des trophées en signe de victoire.
En effet, malgré la décision du Conseil Politique prononçant un non lieu, suite à la missive de Hadiatou Djinkan DIALLO pour Cellou Dalein DIALLO, et la conclusion du Président de séance Dr. Fodé Oussou FOFANA sur les faits ; Cellou Dalein DIALLO a cédé aux caprices de sa Duchesse.
Mais, « le copinage » entre Cellou Dalein DIALLO et Hadiatou Djinkan DIALLO, ne peut en rien influer sur les idéaux des membres et responsables de l’UFDG en France.
Car la Fédération UFDG/France n’est pas une association de ressortissants, où des germains s’appellent au téléphone pour prendre des décisions.
Donc, je ne me sens pas concerné par ‘’une certaine décision d’avertissement’’ non conforme aux statuts et au règlement intérieur de l’UFDG. Puisque cet acte solitaire et évasif, n’est que délire et amateurisme décisionnel. Comme furent les cas de Mr. Lamine DIALLO (Fédéral de l’Allemagne) et Mr. Mamadou BARRY (membre du Bureau National).
Si l’acharnement, la décapitation et l’exclusion, ciblés dans ses rangs propres, pour des raisons personnelles et égoïstes constituent l’arme de guerre ou l’instrument de conquête du pouvoir, par horreur du débat démocratique et de la critique de pensée, pour ce « Petit Directoire » ; L’on est en droit de se poser les questions de savoir :
– – Quel héritage laisserait-il à la jeunesse de l’UFDG ?
– – Quel model d’exercice du pouvoir proposerait-il au peuple de Guinée ?
Cette pensée unique et sa terrible invention, qui se trouve être le fameux « Vive Aladji Cellou Dalein DIALLO ou tais-toi ! », qu’il tente de nous mettre sous les langues et sur les plumes ou de nous inculquer comme une doctrine ; ne peut fleurir ni prospérer.
Par ailleurs, si je devais répondre un jour à cet acharnement de Cellou Dalein DIALLO, puisque c’en est un, le lendemain il signera sa lettre de démission à la tête de l’UFDG. Qu’il prenne ceci comme un avertissement. Le mien !
La lutte permanente pour la démocratie, la liberté et l’Etat de droit, doit continuer jusqu’à la victoire finale. Et ce, à n’importe quel prix ! Car rien ne vaut, de la vie, ces acquis.
C’est l’aspiration première de l’ensemble du peuple de Guinée et la soif incommensurable des militants de l’UFDG.