Censure

Droit de Réponse à Monsieur MOHAMED LAMINE KEITA EX MILITANT DE L’UFDG

De l’usurpation de titre au délire lexicologique, le hurlement d’un soldat sans munitions !

Averti par la Fédération Ufdg France,  puis la Direction Nationale de l’Ufdg avant d’être exclu, le sieur Mohamed Lamine Kéita persistait dans l’usage du titre « Chargé de Communication de l’UFDG France » pendant que la fonction est valablement assurée par Mme Marie Hélène Sylla depuis le 27/12/2015. Nous avons pris acte de son renoncement à la fonction. Nous pensons que le même bon sens l’obligera à renoncer à la signature UFDG car cette forme d’usurpation de titre est le plus souvent l’apanage de personnes sans aucune autre occupation professionnelle.

Dans ses hurlements intempestifs et mytho-maniaques, ce désormais soldat sans munitions passe la majeure partie de son temps à recenser et aligner dans un texte les expressions empiriques qui ont caractérisé la révolution encyclopédique française des années de la renaissance philosophique et littéraire. Cette forme d’attachement aux expressions dont le décodage n’est possible qu’en présence d’une édition antérieure du Larousse est l’apanage de psychopathes ayant développé dans le passé, des difficultés d’accès lexical. Ceci conforte la fédération France de l’UFDG dans sa position de se défaire des services d’un pervers narcissique sans conviction ni valeur morale.

Sa récente sortie titré  « Appel de détresse du 4 Août ou quand Cellou Dalein peine à assimiler les leçons de ses échecs … ! » est la goutte d’eau de trop !

  1. Mr Kéïta persiste et signe encore UFDG :

Encore un petit bout d’effort car si Sieur Kéïta est parvenu à laisser le titre de « Secrétaire Général chargé à la communication de l’UFDG France », il pourra un jour arrêter de signer « UFDG ». Qu’il reçoive toutes nos félicitations pour ce progrès intermédiaire. Nous sommes persuadés qu’il comprendra, après son sommeil, qu’il ne représente personne en France et apprendra incessamment à signer pour sa petite tête. Par modestie nous nous réserverons d’admettre qu’il ne vaut vraiment rien. En toute clémence donc l’UFDG le laisse utiliser cette signature le temps pour lui de trouver une adresse et une signature fiables. Qu’il en fasse bon usage car le « faux et usage de faux » est une infraction sévèrement sanctionnée en France. Tout notre espoir serait désormais que son mentor fasse le même progrès en renonçant à la signature de  vice-président de l’UFDG.

2. M. Monsieur Kéïta écrit : « Seule la nature animale, fut-elle de l’Homme, répète inlassablement les mêmes actes qui entraînent les mêmes fautes et  produisent en effet des échecs successifs et fatales ».

D’une part si éradiquer des moins que rien comme lui et son mentor, peut être considéré comme un échec, oui nous l’assumons et d’ailleurs, qu’ils soient rassurés que nous reproduirons les mêmes erreurs. Pour la fatalité d’une telle erreur, qu’il constate lui-même que l’UFDG et son Président se portent agréablement bien depuis leur éradication. Nous adhérons donc à sa morale car depuis longtemps nous avons continué à faire confiance à des tares comme lui et son mentor ; ça été une erreur répétitive. Très sereinement nous avons pris le dessus sur notre nature animale pour leur isoler dans la leur.  Cependant, nous restons très confiants qu’ils feront un progrès de leur côté et finiront par se débarrasser de ces personnalités dépourvues de toute morale.

D’autre part depuis novembre 2015, il se bat comme son mentor Bah Oury pour un changement de Leadership à la tête de l’UFDG, vos stratégies vous ont permises d’atteindre votre but ? Et si vous changiez de stratégie d’échecs permanents ?  

En Dépression, Monsieur Kéïta renchéri : « Pour ses demandes inlassables d’argent  à l’occasion de ses appels de détresse dits de manifestations ont servi jusque-là et ne serviront qu’à alimenter ses poches au détriment des intérêts de l’UFDG et de la Guinée tout entière »

Il y a quelques jours, ce même Kéïta affirmait que Cellou Dalein Diallo est le meilleur investisseur au Sénégal. Il change de recette en un laps de temps pour présenter le même CDD comme une personne qui a besoin des contributions des militants pour survivre. Pas étonnant l’amnésie est le faible des personnalités bipolaires.  Pourquoi lui ne publiera pas l’historique de ses propres contributions financières à l’UFDG France ? Mr Bah Oury de son exil en France a reçu combien de ses déplacements aux USA et ailleurs, combien il a rendu compte au parti ?

Kéïta fanfaronne sur un terrain juridique et démocratique vraisemblablement méconnu. Il parle de « bafouage des lois de la République » et de « déni et de défiance perpétuelle de Cellou Dalein à l’égard du  régime en place, sans effet politique et social positifs »

Sans doute sieur Kéïta est très limité en droit. Ce n’est vraiment pas son domaine autrement il comprendrait que toute violation des lois de la république mérite d’être sanctionnée par l’autorité compétente. Incapable de citer les lois bafouillées par l’Ufdg et/ou son Président, Monsieur Kéïta persiste dans son hibernation et patauge dans le choix des termes à chaque essai. S’il le souhaite, l’UFDG met à sa disposition un juriste qui pourrait l’aider à soigner son langage juridique.  Il serait bien qu’on l’explique : les articles 2, 10 et 58 de la constitution, la hiérarchie des normes juridiques et le rôle de chaque institution ainsi que la charte des partis politiques en Guinée.

Pour le régime en place, nous le renvoyons à son article publié en mars 2015 dans guinee58.com et titré : « L’Alpha-Gouvernance ou la valse des cafards aquatiques ». Dans ce récit, il traitait le président Alpha de danger national.  Alors aujourd’hui, de deux choses l’une : Kéïta était un cafard aquatique à l’époque ou, il vient juste d’en être un ! En effet, il n’a quasiment pas changé de message, il a juste changé de cible (Alpha hier CDD et l’UFDG aujourd’hui), c’est exactement de la sorte qu’un cafard aquatique procède : quand telle rivière n’est plus fructueuse, il se déporte dans une autre fructueuse dont il a nié l’existence quelques jours avant. Mr Kéïta oublie juste un petit détail, il est encore au stade larvaire et donc, pourrait  être dévoré à la prochaine saison sèche par le cafard adulte qui le manipule actuellement.

Pour ses autres errements fétides sur notre droit à la manifestation ou le rôle de l’opposition au parlement,  Monsieur Kéïta peut continuer son jeu de mots habituels, l’UFDG agit et agira toujours dans le respect des textes de loi. S’il a la ferme conviction qu’on agit contrairement à la loi, qu’il saisisse une autorité compétente. Mieux plus de six mois après son éviction de la fédération France, monsieur qui se dit prophète du droit, n’a jamais pensé à défendre son prétendu droit devant une juridiction guinéenne. Pire son mentor pareillement n’a jusqu’à présent déposé une plainte contre son exclusion du parti.

Si sieur Mohamed Lamine Keita estime que l’assemblée est le meilleur endroit pour critiquer la gouvernance de Mr Alpha Condé nous lui renvoyons auprès de son mentor Mr BAH Oury qui avait refusé même d’être candidat, second de la liste nationale de l’Ufdg aux législatives.

Pour sa critique que l’opposition ne propose pas à Alpha Condé et son gouvernement rions vraiment c’est Alpha Condé qui gouverne, s’il a un projet qu’il l’applique pourquoi en vouloir à l’opposition ses échecs permanents. D’ailleurs Mr Keita quelles sont les propositions de votre mentor Bah Oury, je parle là de son projet de société ? Depuis 1991, il est opposant mais nullement part on ne retrouve un document de Mr Bah Oury présentant son projet de société alternative. Prouve-moi le contraire.

Je ris beaucoup quand il parle au nom de la jeunesse de l’axe : elle ne va plus  observer, elle ne sera pas complice du ‘’putsch’’, restera sereine quant aux appels… Il aurait eu moins honte quand il lance un appel aux jeunes au lieu de tenir des affirmations comme s’il a une audience au sein de cette jeunesse. Qu’il se prépare à son suicide car la manifestation sera bien suivie.

Qu’il daigne donc changer de stratégie car depuis novembre 2015 il donne l’impression d’être à court d’idée ? De notre côté, nous commençons à peine de réfléchir sur ses âneries répétitives. Qu’il observe donc notre ferme volonté de le maintenir à sa place de soldat sans munitions.

                                                                                                Hamide BALDE

                                                              Sécrétaire Chargé à la communication

                                                                                                 Ufdg Paris Nord-Est

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