L’année 2017 aura donc son lot de tragédies, comme les années qui l’ont précédée depuis l’avènement d’AC au pouvoir. Oui, un mois après les manifestations des enseignants qui a vu à Conakry des vies fauchées, blessées ou marquées pour toujours, notre nation est de nouveau endeuillée et choquée avec la répression de la population de Gueckédou, le 14 mars dernier, pour avoir protesté contre les dénis de justice. Cette violence et les morts qui l’ont accompagnée ne ravivent-ils pas dans la mémoire collective les répressions des manifestations politiques et sociales avec plus de 80 citoyens assassinés et les exactions d’une barbarie innommable sur les populations de Saoro, Galapaye, Lola, Womey ?
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