Censure

Le ministre des postes et télécommunications lance les épreuves du BAC à Matoto

C’est au lycée Ahmed Sékou Touré au quartier AVIATION, que les premières épreuves du baccalauréat unique, session 2020, pour la commune de Matoto, ont été lancées ce mardi par le ministre des postes et télécommunications et de l’économie numérique, Saïd Oumar Coulibaly, et une forte délégation composée de responsables éducatifs et sécuritaires.

Dans cette commune qui est la plus grande de la capitale guinéenne, le DCE, Daouda Doumbouya a indiqué avoir « 21 999 candidats dont 9 253 filles, répartis dans 850 salles avec 48 centres surveillés par 1700 surveillants. »

Le centre, Ahmed Sékou Touré, qui accueille 650 candidats dont 104 filles, est encadré par un délégué national, deux secrétaires et 44 surveillants. Dans ledit centre, les mesures sanitaires sont respectées. Trois (3) kits de lavage des mains sont installés à l’entrée principale et un kit devant chaque salle. Le port des masques est contrôlé. Et la prise systématique de la température est effective.

S’adressant aux candidats, le ministre des télécoms, s’est dit « convaincu et conscient qu’en vous inscrivant à cet examen, vous auriez déjà fait le choix de votre avenir. Le choix de votre futur professionnel. Vous devez avoir cela en conscience et affronter ces examens avec beaucoup de sérénité, beaucoup de calme et de concentration.  Ces examens sont extrêmement importants pour notre pays. Sachez que vous êtes l’avenir de notre pays. Je vous souhaite beaucoup de chance. J’espère que cette année, nous aurons beaucoup plus d’admis que les années précédentes. »

Aussi, il a donné les dernières instructions aux surveillants. « Au personnel surveillant, vous avez été triés sur des critères extrêmement exigeants, je vous vous exhorte à un sens élevé de responsabilité. Vous devez prendre conscience de votre rôle dans le processus et faire ne sorte que ces examens soient sanctionnés d’un label de qualité. Il est extrêmement important que les élèves ne soient pas mis sous pression, ne se sentent pas intimidés » a-t-il conseillé.

Abdou Lory Sylla pour guinee7.com

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