« Nous avons accepté de prendre part à cette cérémonie d’installation du CNT en dépit de sérieuses réserves que nous avons formulées en lien avec la question des quotas, parce que nous voulons la réussite de cette transition.
Vous savez que nous sommes assez sous représentés dans cette institution.
Nous accompagnons les initiatives en cours qui vont dans le sens de solliciter l’élargissement du nombre des conseillers », a dit Etienne Soropogui au sortir de l’installation du CNT.
« Il est aussi important de noter que nous sommes dans un contexte de rupture de légitimité, c’est à dire que personne ne peut aujourd’hui dire qu’il a reçu un mandat du peuple pour imposer sa volonté aux autres », a-t-il ajouté.
« Donc dans une telle configuration seule le dialogue et la concertation autour des questions d’intérêts vitaux peuvent nous permettre de construire une transition apaisée. Nous demandons donc fortement que soit mis en place un cadre formel de dialogue et de concertation afin que le consensus obtenu au terme des discussions puisse être traduit en loi par le CNT », a-t-il conclu.
Focus de guinee7.com