Censure

On en parle au Gbakaland : Le nabot est un chaud lapin, champion des jeux de ping-pong

Le Gbakaland est un territoire imaginaire situé entre des pays, eux, bien réels : Guinée, Guinée Bissau, Sénégal, Mali, Côte d’Ivoire, Liberia, Sierra Leone…

Il faut tout de suite clarifier les choses : les personnages, les faits et situations de ce Gbakaland-là étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes, faits et situations vrais de ces pays ne serait que fortuite.

Heureusement d’ailleurs, puisque dans ce Gbakaland, il se passe des trucs tordus et des histoires pas très catholiques, inimaginables même dans un navet (mauvais film) parlant de coup d’état ou de coup d’éclats.

Par exemple, ces derniers temps les rues meurent à propos d’un nabot qui souffrirait de la folie des grandeurs. En réalité plus chaud lapin que le terrible lion auquel il a la prétention de s’identifier.

A la tête d’un cénacle de palabreurs commis à un travail d’enregistrement, le mec, à force de jouer au champion de ping-pong à travers des matchs trop intimes, s’est retrouvé dans un embarras : sous la forme d’une rondeur aussi gênante que déshonorante ! Finalement, la victime de ses ardeurs a dû être expédiée loin : cachez cette rondeur que mes yeux ne sauraient (plus) voir !

Autre potin. Le Manitou qui trône à la tête d’un ministère- pouponnière, atteint d’une certaine forme de fétichisme (celui des nombres), ne conjuguerait plus les mêmes verbes avec son adjoint. Comme deux signes négatifs qui se repoussent. Mais c’est pas grave, «la langue elle-même ne se chamaille-t-elle pas quelquefois avec les dents » ?

Ibou, depuis le Gbakaland

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