« Il se peut. Je dis bien, il se peut que le Président Dadis avec son clan puisse dissimuler certains corps. Il faut être franc. » C’est la position affichée ce mercredi par le Capitaine Marcel à la barre, en répondant à une question du procureur, concernant la possibilité que certains corps aient été dissimulés à la suite des massacres du 28 septembre 2009.
Le procès a été renvoyé à lundi prochain, sur la demande des avocats de l’accusé. Marcel a soutenu souffrir de maux de tête.
Abdou Lory Sylla pour guinee7.com