Le procès de Pépé Francis Haba, président de l’UGDD, arrêté le week-end dernier devait s’ouvrir, vendredi 2 août 2024 au tribunal de première instance de Dixinn mais il a été renvoyé en huitaine, suite au décès d’un magistrat et d’un avocat.
Pour rappel, Pépé Francis Haba, Simone Pierre Camara, Bienvenue Théa, Pierre Kamano et Ange Kolomou, étaient en garde à vue à la direction générale d’investigation de la gendarmerie nationale avant d’être déférés au tribunal de Dixinn.
Le 31 juillet, Pépé Francis Haba, a bénéficié d’une mise en liberté en attendant son procès. Par contre, ces coaccusés ont été placés en détention préventive.
Le juge d’instruction du tribunal de Dixinn leur reproche des faits “d’atteinte et de menace à la sécurité publique”.
Ce qui contraste avec les accusations du parquet de Dixinn : “diffusion et mise à disposition de messages, photos, d’écrits ou toute autre représentation de théories ou d’idées de nature raciste ou xénophobe par le biais d’un système informatique.”
Bhoye Barry pour guinee7.com
