Qu’est-ce qu’on ne verra ou n’entendra pas dans les rangs de l’homme qui recommande la violence contre la paix ?
Je suis devenu, depuis mes vérités inattaquables sur les codes lucifériens à la « Bah Ouryenne » de M. Bah Oury, un dépotoir et une poubelle de certains hommes, de certaines radios et de certaines presses en ligne. Quand on parle ou écrit c’est qu’on assume et signe. Un scientifique est aussi celui qui assume, qui signe sa position et qui sera prêt à la défendre partout où besoin se fera sentir.
Un scientifique est celui dont les arguments ont un fondement solide, soutenus par une logique qui force le respect et qui met au gardez-vous les presses de service. Contrairement à certaines radios ou presses en ligne qui se prennent pour connaisseurs de tout et qui se prononcent sur tous les sujets comme s’ils étaient détenteurs de toutes les spécialités journalistiques. En réalité, un homme avertit qui les entend parler ou qui les lit, détecte la légèreté au plus haut niveau et l’incohérence la plus notoire de leur argumentation. Le niveau d’un journaliste doit forcer l’admiration et le journaliste doit refuser de donner raison à Otto Von Bismarck qui pense « qu’un journaliste est celui qui a perdu sa vocation ». En réalité, en écoutant ou en lisant certains médias de service, on comprend tout sauf la logique, la cohérence ou la pertinence de l’argumentation d’un journaliste avertit de ce siècle de vitesse et de cerveau.
Bernard Pivot disait que « le journaliste doit être un interprète de la curiosité publique » François Mauriac ajoute que « le pouvoir du journaliste ne se fonde pas sur le droit de poser une question, mais sur celui d’exiger une réponse ». Etes-vous journalistes du peuple de Guinée ou au service d’un individu ou d’un groupe privilégié ? Si vous êtes réellement journalistes du peuple de Guinée et au service de ce peuple alors cherchez à observer la citation de Bernard Pivot pour interpréter afin de satisfaire la curiosité du peuple de Guinée sur la position de Bah Oury à soutenir contre vents et marrées ‘’ la violence contre la paix’’, ensuite observez la citation de François Mauriac et exigez une réponse de Bah Ory sur son incitation à la manifestation sans être, lui et sa proche famille parmi les manifestants, sur sa préférence du pouvoir à la vie humaine et sur sa planification à faire taire les cerveaux gênants.
Chers amis de la presse de service, en faisant cela pour le peuple de Guinée vous aurez rendu hommage au feu Ahmed Sekou Touré qui disait que « la vérité est courte mais elle est facile d’être comprise », à Patrick Poivre d’Arvor qui disait que « le but du journalisme n’est ni de plaire ni de complaire. C’est de remuer la plume dans la plaie. La plume, et aujourd’hui le micro et la caméra » et enfin vous renforcerez ma position vis-à-vis de l’une de mes citations disant ceci : ‘’ Pour comprendre le monde, il faut être en harmonie avec la loi et les principes qui le gouvernent sinon tu passeras à coté du monde et tu auras vécu inutilement’’. Aujourd’hui, j’avoue très honnêtement avoir peur pour Bah Oury, car j’ai comme pour désagréable impression que ce Monsieur n’a pas compris le monde dans ses principes, dans ses lois et dans sa logique. Pire, il n’arrive pas à réaliser que la vie humaine est sacrée, que le corps de l’homme est le temple de DIEU et que la conscience qui fabrique l’intelligence est ce qui est DIEU en l’homme, donc chaque âme perdue est un dieu perdu car l’homme est fait à l’image de DIEU.
Les médiats de service et Cie me traitent de tous les noms : cireur de chaussure, chercheur de poste de Ministre, faux chercheur, faux guinéen, une télé commande du pouvoir, d’où sort ce chercheur ?, jouer sur mes sentiments pour me détourner de mon objectif, me demander à faire mes bagages et à chercher un pays d’exil d’ici fin 2015, car Bah Oury sera le futur 1er Ministre. D’autres s’interrogent sur mon sort après 2015 et d’autres vont même jusqu’à dire que ça sera mon dernier article contre Bah Oury et qu’ils me répondront.
La technologie étant devenue une nouvelle forme de police, tout ce que je dis a une trace, car certains ont été dits dans les émissions interactives matinales (archives obliges) et d’autres en commentaires en ligne. Loin d’être un homme qui est pris de peur ou qui se fait passer pour une victime, bien au contraire j’assume et assumerai, je signe et signerai, je persiste et persisterai à temps et à contre temps tout ce qui vient de moi contre l’homme qui recommande la paix contre la violence.
Cette forme de menace ou autres pour me faire peur ou me faire taire, ne semblent pas être les meilleures car même de ma tombe je parlerai (œuvres obliges).
Laisser une œuvre est le principe déterminant de mon pèlerinage sur terre, cela étant atteint en partie, j’ai une ferme conviction aujourd’hui que ma mort pour avoir démasqué les codes luciférien de Bah Oury sera une victoire et sera un hommage rendu à Ahmadou Kourouma qui pense que « la mort d’un seul combattant ne suffis pas à arrêter le combat ». Car votre stratégie qui me ferait taire par une disparition physique serait une contre-attaque dans votre propre camp. Car cette contre-attaque fabriquerait des milliers de « Guillaume Hawing » qui seront vos futures cibles à faire taire par d’autres nouveaux stratagèmes de disparition physique.
Pour finir je dis ceci : Si les guinéens avaient le choix dans leur naissance, ils allaient choisir de naitre à une période où Bah Oury a compris que seules les urnes donnent le pouvoir en République Guinée. Et si personnellement, j’avais le pouvoir de l’intelligence artificielle j’allais l’imposer à Bah Oury pour qu’il réponde à la vraie question suivante : Que pourrait la volonté d’une minute contre la volonté accumulée de près d’un demi-siècle de combat ? Et enfin j’allais imposer la même intelligence artificielle aux journalistes de service de Bah Oury pour qu’il réponde à la vraie question suivante : Un journaliste est la voix des sans voix ou la voix des porteurs de voix ou des leaders d’opinion ?
Guillaume Hawing, chercheur