BANNIERE GUINEE MILLION VERSION
Censure

Rumeurs et cancans au tour de Bel Air Mining : face aux mensonges et manipulations, la vérité implacable des faits, l’éloquence des preuves à l’appui ! (Dossier)

Diantre ! L’information ne doit guère dépendre des sautes d’humeur douteuses ni obéir à des intérêts particuliers sordides. Elle est fondée sur les faits et tire sa force de la véracité. A défaut d’être parole d’évangile, elle ne peut avoir l’air d’une vulgaire parodie.

Si ce n’était pas dans le but d’éclairer la lanterne publique et de rassurer l’opinion qu’il n’y a pas péril en la demeure, il n’y aurait aucune raison de se laisser distraire par une campagne de discrédit qui n’a pas commencé maintenant et sans doute a de beaux jours encore devant elle, parce que Bel Air Mining qui avance lentement mais sûrement empêche certains de dormir ; les mêmes, depuis toujours, qui appellent de tous leurs vœux sa faillite, improbable.

On a encore remis ça, la bêtise, insistant toujours, la concurrence déloyale, mauvaise conseillère.

Ainsi, Bel Air Mining aurait mis la clé sous le paillasson. On a pensé tenir un scoop, en réalité, on a servi une rhétorique, cousue du fil blanc du mensonge et de la malveillance.  Dans « l’oraison funèbre » de circonstance dédiée à une entreprise qui est bien vivante, en parfaite santé, on ne s’est pas préoccupé de la sensibilité populaire et de la réputation de l’entreprise. Et, pourtant, il aurait suffi de faire un effort d’aller à la source, de frapper à la bonne porte pour éviter d’être la risée publique. Mais comme ce n’est pas la vérité qui est recherchée, ni le professionnalisme qui guide, on a versé dans la calomnie gratuite afin, certainement, d’honorer un contrat avec des concurrents et adversaires, tapis dans l’ombre, engagés à nuire à l’image et aux intérêts de leur bête noire, Bel Air Mining.

Si l’objectif est de jeter en pâture à l’opinion, l’entreprise, de la diffamer, à outrance, de la compromettre, aux yeux de tous, cette fois-là encore, la montagne a accouché d’une souris, dans la mesure où Bel Air Mining, au grand dam de concurrents de mauvaise foi, animés d’intentions maléfiques, se porte comme un charme et entend bien, envers et contre tous, aller jusqu’au bout de son pari d’exister et compter dans le secteur minier guinéen, très florissant.

La société Bel Air dispose d’un certificat de non faillite n° 224/2024, en date du 14 août 2024, signé du Chef du Greffe, Chargé du RCCM, auprès du Tribunal de Commerce de Conakry qui est « une preuve de vie », si besoin en est. Il n’y a pas meilleur démenti que cet acte à la cabale orchestrée, contre Bel Air Mining. Tant, s’en faut !

Donc, que les partenaires de la société soient rassurés, les difficultés de la société sont ailleurs et très loin de la caricature nourrie dans la presse, entretenue par des délateurs dont l’objectif est bien connu.

Aujourd’hui, la bonne foi de la société et de ses responsables, n’est pas en cause. Malgré la traversée du désert du moment, les aléas du contexte international, la société Bel Air Mining ne s’est jamais dérobée de ses responsabilités ni n’a manqué à ses engagements vis-à-vis de l’Etat et de tous ses partenaires.

Quant aux difficultés d’honorer certaines obligations notamment le paiement des salaires des travailleurs, il est aussi nécessaire qu’important de situer toutes les responsabilités, sans passion, ni légèreté.

Même si chacun est prompt à jeter la pierre, à aller vite en besogne, à culpabiliser la société dans la crise actuelle qui n’est pas assimilable à la faillite annoncée, une certaine pédagogie aiderait à une meilleure compréhension de tous, susceptible de tuer dans l’œuf toute velléité de discrédit, de mettre fin aux tentatives désespérées de manipuler l’opinion.

Contrairement aux clameurs populaires, à la version des faits des détracteurs infatigables, souvent des concurrents malveillants, la difficulté que rencontre la société s’explique, simplement, par le contentieux entre deux de ses prestataires ou partenaires.

De quoi s’agit-il ?

Avec la vision de la nouvelle Direction imprimée sous le sceau de la rigueur et de la refondation interne, un vaste programme de changement a été opéré pour non seulement marquer la rupture mais aussi impacter positivement et durablement le fonctionnement de la société.

C’est ainsi, STS Scatoshore Group qui sous traite avec Wansa Commodities Pte Ld, le partenaire commercial de Bel Air Mining s’est engagée à mettre à disposition une logistique de pointe devant permettre à relancer et accroître sa production. C’est-à-dire, passer d’un navire mensuel à deux pour un total annuel de sept (7) millions de tonnes de bauxite pour l’année 2024, contre quatre millions en 2023, soit huit mille (8.000) tonnes par jour, conformément à l’ambition affichée de la nouvelle Direction Générale, sous la houlette de Amara Somparé, DG de Bel Air Mining.

Malheureusement, la réception des équipements qui était prévue pour 2023 ne s’est tenue qu’en mars 2024. Et, cette logistique, au lieu d’être sous le label Bel Air Mining, était plutôt au nom de AGS, un autre partenaire concurrent.

Informé, le DG de Bel Air Mining a saisi le DG de la Douane par courrier pour une autorisation de mutualisation des équipements afin que sa société, face à l’impérieuse nécessité de résultats et autres obligations, puisse, effectivement, démarrer pour honorer ses engagements. Une demande de mutualisation favorablement accueillie et qui va sceller le contentieux au niveau portuaire.

C’est ainsi que, Bel Air Mining a sorti les équipements pour les mettre sur son site au mois d’avril 2024.

Peu de temps après, c’est AGS qui saisit Bel Air Mining pour le retrait de la logistique sur son site de transport et transbordement de la bauxite pour n’avoir pas été associée à une quelconque demande de coexploitation de la logistique de STS group. En sa qualité d’entreprise vertueuse, respectueuse des normes et de pratiques de transparence dans un contexte interne de refondation, conformément à sa nouvelle vision s’est exécutée.

Depuis lors, le différend perdure au préjudice de Bel Air Mining qui voit le rêve de sa nouvelle équipe dirigeante volé en éclat. C’est ainsi qu’après avoir été saisi, le Tribunal de Commerce de Conakry, a épluché le dossier pour s’en imprégner des tenants et des aboutissants. En conséquence, une ordonnance portant injonction de faire a été rendue le 9 avril 2024 en faveur de Wansa et au préjudice STS.

Malgré cette ordonnance portant injonction de faire, STS n’a pas déféré à l’ordonnance, à laquelle cette entité oppose une résistance, narguant ainsi la justice guinéenne, en particulier, le tribunal du commerce.

Après cet énième refus de STS de se plier à une décision de justice et de respecter ses engagements contractuels, le TPI de Boffa, a, lui aussi, rendu le 18/042024  l’ordonnance n° 11, pour ordonner l’arrêt de tous les travaux de STS pour le compte d’entreprises autres que Wansa et Bel Air.

Après cette décision du président du TPI de Boffa, seules les grues STS FC1 et STS FC5 ont été immobilisées.

C’est ce conflit pendant devant la justice du pays qui explique, aujourd’hui, le retard des salaires des travailleurs de la société Bel Air Mining qui n’est pas à l’agonie, ni n’a fait un dépôt de bilan comme le souhaiteraient les oiseaux de mauvais augure et tous les prophètes de malheur qui pullulent dans les milieux d’affaires et les sphères publiques. Hélas !

Emplois et contenu local…

Avec sa réputation d’entreprise « citoyenne », Bel Air Mining est de plus en plus proche des communautés riveraines de ses sites d’opération. Avec la construction des dalots, des forages, de centres de santé, de mosquées, installation des kits d’éclairages, des appuis aux jeunes et aux groupements de femmes, aux sages, soutien à l’entreprenariat et implication des prestataires locaux dans le transport de la bauxite, l’impact de la société reste énorme et change qualitativement la vie de ces communautés environnantes.

L’autre aspect, non des moindres, sur les 630 emplois directs créés, la société ne compte que dix sept (17) expatriés. Une raison de plus pour assurer la survie de la société dans un contexte où le déficit d’emploi ne cesse de croître. Malgré la volonté de nuire, la soif de trouver un bouc émissaire, Bel Air est loin de toute cette cabale orchestrée par des concurrents déloyaux et reste et demeure une entreprise responsable, axée sur le résultat comme l’imprime, déjà, la nouvelle Direction Générale dans sa vision de refondation interne qui doit aboutir par la relance et l’accroissement de la production de la société Bel Air Mining.

Source : Lerevelateur224.com

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