Le parquet a demandé vendredi des peines allant de douze mois avec sursis à huit ans de prison ferme contre les neuf prévenus dans l’affaire de la voiture de police brûlée en 2016 à Paris. Il a requis cinq ans de prison, dont un avec sursis, contre le militant antifasciste Antonin Bernanos, considéré par les enquêteurs comme l’un des meneurs de l’attaque. Le parquet a demandé pour les huit autres personnes poursuivies des peines graduées, allant d’un an d’emprisonnement avec sursis jusqu’à huit ans de prison pour l’incendiaire présumé de la voiture, absent au procès et résidant en Suisse.
En Guinée les biens publics et privés sont saccagés, brûlés, et les auteurs et, à l’égard des auteurs, le gouvernement lance des ‘‘appels pathétiques’’, comme l’a fait récemment le ministre de l’Intérieur, Bouréma Condé à propos des manifestations de Boké. A Kolabounyi des véhicules de la gendarmerie, notamment ont été calcinés. Pour le moment sans suite.
Focus de guinee7.com