L’augmentation de salaire, la prise en charge médicale, l’enregistrement à la caisse nationale de la sécurité sociale, la signature de contrat et l’instauration des primes de motivation, sont les raisons qui amènent les travailleurs de la société Albayrak à entrer en grève dès ce lundi.
Même si certains bus circulent, la directrice de la communication de l’entreprise Canan Sahbaz Gaillant, nous a confié que dix (10) bus ont été endommagés. Qui selon elle, ont été victimes d’actes de sabotages durant leur période d’arrêt. «Je voudrais rappeler que ces bus n’appartiennent pas à Albayrak, ni à l’État. Ce sont les bus des citoyens guinéens. Il ne faut pas mettre la colère sur les bus. On a même un cas où la porte a été coupée » a-t-elle indiqué.
Avant de poursuivre qu’une mesure selon laquelle, les bus à leurs sorties, seront désormais sécurisés par au moins un gendarme.
Elle a aussi fait savoir que les auteurs de ces actes de sabotages ne sont pas encore identifiés.
À rappeler que ce débrayage intervient à un moment où les habitants de la capitale guinéenne, suite à l’augmentation du prix du carburant à la pompe, sont confrontés à un sérieux problème dans le secteur du transport.
Abdou Lory Sylla pour guinee7.com